
Le rôle de la complémentaire santé ( mutuelle, assurance ou organisme de prévoyance ) est de compléter les remboursements optique de la Sécurité Sociale. Le remboursement dépendra du contrat auquel vous avez souscrit.
Au Paradis des Lunettes, opticien Marseille, vous donne 6 critères pour vous aider à choisir les prestations en optique les plus adaptées à vos besoins.
Comparer le niveau de remboursement sur la base de frais réels avec des montants exprimés en euros.
Respecter votre liberté de choisir l'opticien qui vous connaît, qui est proche de chez vous et en qui vous avez confiance.
En effet, certaines complémentaires vous incitent à aller chez des opticiens référencés. Mais ces opticiens peuvent être à des dizaines de kilomètres de chez vous. Par ailleurs, les mutuelles changent fréquemment les listes des opticiens référencés. Difficile pour vous d'avoir un véritable suivi de votre santé visuelle, si vous changez d'opticien tous les 3 ans.
Avoir accès à tous les produits, même les plus innovants.
Les "conditions avantageuses" promises par des mutuelles si l'assuré se rend chez un opticien référencé ne concernent bien souvent qu'une gamme limitée de produits. les plus basiques et les moins innovants.
S'assurer que les conditions de remboursement restent les mêmes quelque que soit l'opticien de votre choix.
Aller chez un opticien référencé ne garantit ni l'accès aux prix les plus bas ni la qualité des prestations.
Privilégier les contrats contenant des informations claires sur vos remboursements avec des exemples chiffrés. Pour vous y retrouver, la meilleure solution consiste à effectuer des simulations de remboursement avec un reste à charge pour l'assuré précis et en euros.
Refuser de communiquer des données confidentielles vous concernant.
Vous n'avez pas à transmettre des informations relatives à votre correction visuelle. En effet, même si votre complémentaire santé le demande, toute pratique entrainant la transmission de vos données médicales par un professionnel de santé sans votre accord est interdite par la CNIL ( Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés ).